Médecine quantique et Métallogramme Atomique

MEDECINE QUANTIQUE ET METALLOGRAMME
ATOMIQUE URINAIRE
Un pont entre Sciences et Médecines Naturelles

Un peu d’histoire

Depuis que l’homme est sur terre il a toujours cherché à soulager les maux et blessures que lui imposaient ses activités, sa nourriture et ses combats.
L’homme préhistorique, déjà, ramassait la Centaurée et la première médecine a été celle des plantes qui deviendra la phytothérapie.
Les croyances, les pouvoirs particuliers découverts par hasard, ont amené peu à peu de nouvelles techniques. Que ce soit en Orient avec l’acupuncture, ou en occident avec les techniques chamaniques, en passant par les thérapeutes Egyptiens et Esséniens, les druides
Celtes, etc .., se sont développées de nouvelles techniques de guérison faisant appel à de mystérieuses énergies qui dans tous les cas étaient attribuées au Cosmos ou à la Terre à travers les croyances et les religions. En effet, dans toutes les civilisations les détenteurs du savoir médical ont été longtemps les prêtres, sorciers et autres animateurs d’un ésotérisme propre à les protéger et à faire de leur savoir et de leur connaissance un instrument de pouvoir. Avec
les civilisations Grecque, Romaine et en orient Chinoise, nous verrons apparaître une première séparation entre médecine-science et médecine-ésotérisme. La première
commençant à réaliser des codifications, des nomenclatures et établir des protocoles d’enseignement, la seconde continuant à manipuler les énergies dont nous parlons plus haut.
A partir de l’an 1000 de notre ère commença à se développer l’alchimie et avec elle une première notion de mémoire des éléments et de transformation de ces derniers par la chaleur.
Avec l’alchimie nous assisterons en quelque sorte à une réunification partielle de la médecinescience et de la médecine-ésotérisme et à l’apparition de la notion de transformation et de différenciation élémentaire qui donnera plus tard naissance à la chimie, comme chacun sait, mais également à la physique en identifiant clairement les énergies en action dans toute transformation. Au 19ème siècle, la notion de mémoire sera remise à l’ordre du jour avec l’homéopathie. Dès cette époque la physique et la chimie sont considérée comme des sciences distinctes quoique complémentaires et les premières théories ont déjà quelques siècles
(Newton, Copernic, etc…). Nous verrons au début du 20ème siècle la biologie médicale admettre l’existence des oligo-éléments et commencer à essayer d’en comprendre l’utilité.
Pour la physique ce siècle représentera littéralement une accélération du temps avec la théorie de la relativité d’Einstein, théorie en quelque sorte du visible, et la physique quantique que nous pourrions définir comme théorie de l’invisible. Ainsi, pour la première fois depuis
Paracelse le Macrocosme et le Microcosme sont, semble-t-il, régis par des lois différentes.
Rassurons tout de suite le lecteur cette différence n’est qu’apparente et gageons que le début du troisième millénaire verra la réunification des deux courants, peut-être à travers les travaux sur le quatrième état de la matière (les plasmas). Nous nous intéresserons aux réflexions et travaux de chercheurs qui ont amené en 1979 à l’élaboration du concept de Médecine quantique en appliquant à la connaissance de l’humain les théories de la mécanique quantique.
Ces chercheurs seront le Professeur Christian D. Assoun et le Docteur Lambin Dostromont. Depuis, de nombreux travaux ont été fait de par le monde par des chercheurs, dans des branches plus ou moins spécialisées (voir bibliographie en fin d’article). Le Professeur Assoun a pour sa part travailler sur un système d’analyses aussi original qu’efficace ; le Métallogramme Atomique Urinaire ainsi que sur la production de formules oligo-élémentaires permettant de corriger les résultats obtenus. C’est cette technique que je mepropose de présenter dans les pages qui suivent.

Introduction à la pensée quantique

La médecine actuelle se structure en spécialités et toutes les sciences majeures, à savoir physique, chimie, mathématiques, électronique et bien entendu biologie contribuent à unprogrès médical constant et important.
La médecine est par essence comportementaliste. Elle progresse de manière linéaire, soit par
« vieillissement du concept », soit par frictions disciplinaires ou éthiques qui conduisent à des
modélisations médicales souvent rigides.
Le cadre strict de la pensée analytique ne prédispose pas à l’expérience quantique, elle induit dans ses propres modèles la « séparativité » et limite de ce fait le champ de l’expérience. Elle
compare, comptabilise, classifie les objets, les corps et les phénomènes. Elle utilise une conception linéaire conçue par elle comme étant « la réalité scientifique ». Dans ce cadre strict, il existe d’un côté des observateurs et de l’autre des objets d’expérience. Le rôle de l’observateur se limite par définition à une observation objective des phénomènes qui affectent les objets d’expérience. Ainsi, toute la pharmacologie moderne est basée sur
l’observation clinique et la compréhension d’ailleurs plus ou moins juste de vecteurs chimiques sur l’homme ou l’animal.
Au contraire, la pensée quantique, enlève les barrières rigides qui séparent l’observateur de
l’objet de l’expérimentation. De ce fait nous entrons de plein pied dans une situation
« pluricomplexe » quantitative. L’expérience devient un ensemble d’observables régi par des opérateurs décrivant des fonctions d’état, le référentiel devient attracteur des objets quantiques qui se déplacent à la vitesse de la lumière (300.000 kms-1 ou 3*1010cms-1)
Ainsi, la pensée n’est plus linéaire mais nous entrons dans une représentation volumique qualitative, une pensée volumique. Les intervenants (observateur et objet d’observation ) ont basculé dans un autre monde qui n’est plus fondamentalement entropique.
Grâce à ce mode de fonctionnement nous pouvons concevoir la matière et l'énergie de manière
différente.

Conséquences de la pensée quantique

Si nous comprenons bien le sens de la définition ci-dessus nous nous apercevons que dans leur essence de nombreuses techniques de soins naturels sont en fait des applications de la Médecine Quantique. Pour n’en citer que quelques une, nous pouvons parler de l’énergétique,
de l’acupuncture, de l’homéopathie, du toucher quantique bien sûr, bref toute méthode qui fait appel à un transfert d’énergie ou de mémoire est dans l’absolue une médecine quantique. Pour notre part nous nous intéresserons à ces transferts d’énergie et de mémoire à travers l’action
des métaux et métalloïdes de notre organisme sur la partie non codée de l’ADN (95 %). Plus spécialement nous essaierons de démontrer l’utilité dans le domaine de la prévention et en médecine « infraclinique » de la détermination de ces courants par le biais du Métallogramme Atomique Urinaire et de son corollaire l’Imagerie Matricielle Atomique. Pour ce faire nous
définirons sous l’angle de la pensée quantique un certain nombre de termes de façon à permettre au lecteur une approche moins complexe de nos conclusions.

Définition de la notion quantique

Monde quantique assimilé à la vitesse de la lumière

On considère un phénomène comme quantique lorsqu’il donne naissance à des manifestations radiatives ou lumineuses (bosons), ainsi qu’à des manifestations matérielles (corpuscules) qui se déplacent dans un référentiel connu (en l’occurrence ce référentiel est le microcosme humain), à la vitesse de la lumière, soit 300.000 km/s. Le plus petit corps quantique (nanoquantique) est le milieu cellulaire et plus particulièrement les membranes de l’ADN.
Généralement, la vitesse de la lumière (c) est reliée à d’autres quantités et constantes telles que la quantité de mouvements (p) associée à la constante de Planck (h) et au nombre d’onde (k), qui lui même est relié à la longueur d’onde généralement exprimée en A° (1A°=10-8 cm).
La dualité ondes-particules règle les enjeux énergétiques
La longueur d’onde est égale à la vitesse de la lumière divisée par la fréquence associée à l’événement quantique, cette fréquence étant exprimé en Hertz (Hz). Il existe donc, toujours, une dualité onde-particule comme l’a démontré la mécanique quantique.
L’originalité de la Médecine Quantique est d’appliquer cette théorie au milieu biologique : « Tissus, organes, cellules et liquides ». « La pathologie de la lumière est à l’origine de la bio dégradation catabolique ».
Une expérience quantique est une expérience qui se déroule, au moins, à la vitesse de la lumière, même si les corps en présence n’évoluent pas avec cette célérité. Il suffit que les informations ou quanta de champ soit pré-existants à la valeur de (c), ce qui implique que
l’expulsion de ces informations n’est pas la conséquence unique de l’attitude structurale intérieure des corps, mais également de leur capacité à émettre ou à recevoir des informations radiatives. Ces propriétés matérielles peuvent être décrites comme « mémoires de ces corps ».

Catabolisme oligo-élémentaire de l’urine

Partant de ce postulat, il est donc possible de décrire tous ces états bio-physiques de manière complexe, complète ou partielle. On peut également utiliser des outils de type quantique comme ICP-MS et ICP-AES qui sont classés comme techniques atomiques.
Ces méthodes, dites atomiques, permettent d’analyser les substrats et liquides biologiques en général et l’urine en particulier, cette dernière représentant l’image pathologique partielle des mécanismes de bio-dégradation naturelle ou provoquée (endogène ou exogène).

Endogène

Déséquilibre EMS (Enzyme-Métal-Substrat), synthèse protéique et génétique

Exogène
Intoxication aux métaux lourds (chronique ou accidentelle, sphère ORL, pulmonaire et gastro intestinale).

Qu’est ce que le M.A.U.

C’est en 1982 que le Professeur Assoun, physicien, mettra au point ce système d’analyses dans le cadre de ses recherches appliquées en Médecine Quantique. Il s’agit d’un outil issu de la réflexion sur les postulats de médecine quantique applicables à la biologie et à ses
mécanismes dont la génétique. En médecine quantique nous nous intéresserons principalement à la partie non codante de l’ADN (hypothèse intronique) celle-ci représentant 95 % de notre capital génétique, la partie codante (hypothèse exonique) ne représentant que
5% de ce total.
En effet, il semble logique de s’intéresser à 95 % de notre matériel génétique, quand bien même et surtout lorsque l’on sait que la biologie moléculaire a pratiquement écarté
l’hypothèse intronique pour se focaliser sur l’exonique en tentant de démontrer de manière mécanicienne que les pathologies et leurs terrains se situent sur des régions spécifiques des gênes. Si cette approche n’est pas fausse elle n’en demeure pas moins limitée et n’élucide en
rien les mécanismes qui entraînent les pathologies moléculaires. Permettant de développer des médicaments systémique elle se heurte aux développement des nanobiotechnologies qui dans l’avenir utiliseront des outils atomiques et moléculaires intelligents qui permettront non
seulement de reconstruire des parties d’ADN nucléaires, mais également de produire au sein des organes et des cellules des substances moléculaires indispensables à l’hormonologie et à l’immunité.
Dans cette optique bien précise, le Métallogramme Atomique Urinaire représente une avancée biomédicale importante qui avec le recul de plus de 20 ans d’expérience et l’arrivée de nouvelles technologies atomiques plus fiables quand aux interprétations a permis de développer un outil corollaire de pointe avec l’Imagerie Matricielle Atomique. Grâce à ces deux outils désormais indissociables nous pouvons déterminer les potentialités d’un organisme à développer une pathologie moléculaire et par voie de conséquence nous pouvons commencer à prévoir les développements symptomatologiques et cliniques. Ainsi, nous sommes en présence d’un outil de prévention et de médecine infraclinique exceptionnel qui en
partant d’un liquide biologique simple à prélever nous permet d’acquérir une image quantique du terrain biologique du patient.

De l’importance des métaux

Les métaux et métalloïdes dans l’organisme humain représente un capital mémoriel primordial. Toutes les secondes se produisent dans notre organisme plus de 3000 réactions métallo enzymes. Le Magnésium et le Zinc entrant à eux seuls dans plus de 400 de ces réactions.
Mais il apparaît comme nettement insuffisant de ne s’intéresser qu’aux macro-éléments ou aux oligo-éléments les plus important. Tout cation métallique n’est pas là par hasard et sa présence ou son absence sont des signes révélateurs de l’état du terrain tant sur le plan
biologique que mémoriel et énergétique. Souvenons – nous, « Quand la nature fait de l’équilibre, elle le fait beaucoup mieux que nous »). Donc avec le développement des technologies atomiques dont nous parlions plus haut, il est désormais logique de considérer
que la seule présence de ces cations constitue une trace matricielle-mémorielle à partir de laquelle nous pouvons reconstruire des matrices entières sur le plan quantitatif et les rapprocher dans une étude comparative de matrices idéales ou considérées comme normales.
Il semble exister pour chaque grande famille pathologique une image matricielle des éléments qui apparaît avant la déclaration pathologique proprement dite. Nous sommes pour notre part persuader qu’une étude statistique accrue doit nous permettre d’identifier de nouvelles images
et particulièrement de déterminer l’image matricielle du terrain propre à différents carcinomes et autres maladies dégénératives.

Notions de carence en médecine quantique

D’après les axiomes systémiques habituels on attribue le terme de carence dans le milieu biologique, lorsque par rapport à une valeur normale, on observe une dérive inférieure. Ce concept univoque ne peut pas s’appliquer de manière heuristique à la biologie et par voie de
conséquence aux mécanismes du vivant. En effet, si nous analysons dans les liquidesbiologiques une valeur en-dessous de la normale pour le Zinc, le Magnésium ou tout autre élément, cela ne signifie nullement que nous sommes devant une situation de carence. Le réflexe qui consiste dès lors à prescrire une supplémentation n’est pas biologiquement ni scientifiquement justifié, particulièrement lorsque le liquide considéré est le sang dans lequel les mécanismes d’homéostasie s’exercent toutes les 90 minutes (réponse d’autorégulation et
de compensation de l’organisme). Le notion de carence est indissociable de la notion de temps, des valeurs différentes seront rencontrées en fonction des cycles biologiques. Partant de ce constat il n’est donc pas possible d’établir une valeur moyenne pour les métaux et
métalloïdes mais également pour les principales molécules et composants de l’hématocrite.
On ne peut en effet, qu’établir une valeur de référence basse et une valeur de référence haute.
La notion de carence est donc très discutable si pour l’établir on n’examine pas d’autres métaux associés dans la même image mémorielle.
Nous définirons en médecine quantique une notion de carence à deux directions, par excès et par défaut, nous aurons donc par exemples des carences :
Magnésioprive (excès ou défaut)
Zincprive (excès ou défaut)
Ferriprive (excès ou défaut)
Etc…
Les signes cliniques de carence dans le sens de manque peuvent en effet apparaître alors que nous aurons l’élément en excès dans les liquides biologiques. A ce stade, seul le métallogramme atomique urinaire peut nous donner une image correcte des éléments associés
et nous permettre de comprendre le blocage biologique de l’élément pourtant présent.
En conclusion, ce n’est pas parce qu’une analyse traditionnelle nous donne un manque de fer, de magnésium ou de zinc que nous devons supplémenter cet élément, et bien souvent il nous arrivera de supplémenter un élément associé qui permettra à nouveau à l’élément majeur de ce rééquilibrer.
Enfin, convient de préciser qu’en raison du stress eco-bio environnemental dans lequel nous vivons il convient de supplémenter avec tel ou tel élément à titre préventif en fonction duterrain propre au sujet considéré.
Egalement, en ce qui concerne les carences par excès, il est parfaitement justifié d’estimer que le sujet puise dans ses ressources et que l’état de carence par excès toujours préférable risque s’il n’est pas corrigé de se transformer à terme en état de carence par défaut dont l’approche
est forcément plus problématique et plus long à restaurer. Les états de carences supposés sont également très différents en fonction du liquide biologique examiné, certains éléments entre autre n’étant pas décelables dans le sang ou le sérum. En ce qui concerne le tégument
capillaire il ne peut être utilisé pratiquement qu’à titre indicatif d’une pollution environnementale, l’accumulation dont il fait l’objet rendant les résultats inexploitables et les
éléments contenus dans les cheveux ne retournant pas dans le flux capillaire contrairement à ceux contenus dans le derme.

Définition de la fonction Mémoire

La fonction mémoire hors du champ quantique, est assimilé à un modèle statistique comptable de données. Dans le champ quantique, la fonction mémoire est une fonction d’organisation structurale de champ, de forme, et de comportement génétique des corps en présence. Cette
définition est celle qui sous-tend en réalité toute action de mémoire cellulaire quelque soit le moyen d’intervention choisi, massage, olfacto-thérapie, élixirs etc…..
Les corps participant à l’expérience peuvent être de nature et de fonctions différentes, ils peuvent être, par exemple, des molécules chimiques, des paquets d’énergie (quanta), des vecteurs médicamenteux, des produits biologiques , ou des médicaments physiques tels que la médecine quantique les propose.

Qu’est-ce qu’un médicament quantique

Nous pouvons définir comme médicament quantique tout principe actif basé sur la notion de compétence de résonance (opérateur de qualité). Le médicament quantique constitue une médicament physique qui obéit à une « pharmaco-cinétique » de nature particulière où les
informations ne sont plus de nature chimique et électrique, mais radiatives ou mémorielle, au sens de la compétence (site donneur, site accepteur). Partant de ce postulat, plusieurs produits traditionnellement utilisés en médecine naturelle peuvent devenir des médicament quantique dès lors qu’ils sont utilisé dans cette optique radiative ou mémorielle. Parmi ces produits ressortent automatiquement les hydrates ou hydroxydes métalliques (forme la plus facilement assimilable d’un métal ou métalloïdes), les huiles essentielles et bien sur les élixirs minéraux.
En effet, nous ne sommes plus en médecine quantique dans le mode de stimuli moléculaires mais dans un mode opératif et qualitatif de transmission informationnelle donc organisé génétiquement..

Les métaux lourds et toxiques

Le métallogramme atomique urinaire va nous permettre entre autre de mettre en évidence les pollutions vibratoires et iatrogènes dues aux intoxications par les métaux lourds. Nous ne devons pas perdre de vue que cette catégorie de métaux contient des métalloïdes d’importance vitale comme le Selenium( Se), l’Arsenic (As) ou le Beryllium (Be) ainsi qu’une bonne partie
des métaux précieux (Pt, Ir, Os, Ru, Rh, Pd, etc…). On pourrait dire que certains métaux mettent des bougies à Dieu et au Diable comme le Sélénium, le Platine ou le Chrome. Le Chrome et le Sélénium notamment dont les doses thérapeutiques sont très voisines des doses
toxiques.
Les métaux lourds et toxiques ne sont en fait considérés comme tels que lorsqu’ils sont des compétiteurs violents du Calcium, du Magnésium et du Phosphore. Pour faire simple lorsqu’ils entrent en compétition agressive avec l’un, quelconque, des cinq macro-éléments principaux. C’est le cas entre autre du Mercure (Hg), du Cadmium (Cd), du Thallium (Th, du Plomb (Pb), de l’Osmium (Os) et du Sélénium (Se).
Lorsque les sites Calcium et ATP-Mg sont perturbés par des éléments toxiques, les échanges synaptiques et énergétiques sont perturbés et peuvent aller jusqu’à une absence quasi-totale entraînant des pathologies moléculaires graves pouvant aller jusqu’à des perturbations
irréversibles sur le plan psychique et cérébral.
Du fait de ce danger permanent que représente les métaux lourds dans notre environnement nous avons été appelé à élaborer des systèmes de déquélation qui préserve l’équilibre du milieu métallogramique que nous exposerons si possible dans un prochain article.

En conclusion, il n’a pas été fixé pour ces métaux de situation carentielle réelle, l’idéal étant de présenter à l’analyse les taux les plus bas possibles, ces éléments étant compétiteurs des biocatalyseurs vitaux majeurs et/ou mineurs. L’expérience nous montre que des complexes Zinc permettent l’élimination (déquélation) naturelle (PROTOCOLE QUELATORR) et sans risques secondaires des métaux lourds et toxiques, d’autant plus que certaines plantes médicinales peuvent travailler de concert avec ces complexes Zinc. En effet, il n’est pas rare
que la déquélation allopathique et même phytothérapique des métaux lourds entraîne « de facto » un effondrement des pools zinc, magnésium et silicium entraînant une immunodépression préjudiciable au sujet.

Imagerie Matricielle atomique

Nous l’avons vu plus avant, l’étude des métallogrammes atomiques urinaires sur plus de vingt ans ont permis d’établir une douzaine de matrices statistiques. Même si certains utilisateurs prétendent aujourd’hui parvenir à définir près de vingt fonctions organiques, nous préférons
pour notre part nous cantonner à ces douzes matrices.
Nous sommes donc en mesure d’établir une imagerie matricielle type d’un terrain pathologique pour les fonctions suivantes :
MEN : Matrice Elémentaire Neuronale
MVC : Matrice Vasculaire et Cardiaque
MHP : Matrice Hépatique et pancréatique
MHR : Matrice Hépato-rénale
MPZP : Matrice Protéique et Zinc-Polymérases
MIP : Matrice Immuno-Protectrice
MB : Matrice Biotique
MEH : Matrice Endocrine et Homonologique
ME : Matrice Energétique
M Triade : Matrice triade
MTI : Matrice Toxique Inhibitrice
MVA du MAU : Matrice Vitale du Métallogramme Atomique Urinaire
Toute autre interprétation et particulièrement des interprétations directement organiques relèvent de la plus pure extrapolation et sont donc par essence non scientifiques.
En ce qui concerne les classes pathologiques en prévention et médecine infraclinique onze classes ont été déterminées par la compilation statistique d’environ 100.000 cas.
Ces tableaux pathologiques clairement identifiés sont les suivants :
1 – Syndrome hormonal (pré-ménopausique et ménopausique)
2 – Signes infectieux et inflammatoires
3 – Pathologie immunitaire
4 – Pathologies dégénératives
5 – Pathologies neuro-psychiatriques
6 – Pathologie diabétique
7 – Ostéoporose – Vieillissement
8 – Contrôle de la diète (spécifique des régimes sévères et/ou spécialisés)
9 – Contrôle de l’administration médicamenteuse
10 – Suivi de grossesse et vie foetale
7
11 – Contrôle de l’activité sportive intense.
Nous tenons à préciser ici, que la détermination d’un métallogramme type est un travail quinécessite l’examen de cas nombreux analysés par un biologiste spécialement formé.

Rappel des éléments analysés

Nous précisons ici que le métallogramme atomique urinaire permet d’analyser 65 éléments de la classification périodique. Eléments présents autour de nous mais également pour la grande majorité d’entre eux en nous. De plus la présence et l’intoxication par les métaux lourds est systématiquement détectée et dans des conditions d’analyses valables ce qui n’est pas le cas rappelons le de l’analyse de cheveux par exemple.

Macro-éléments

Sodium, Potassium, Phosphore, Calcium, Magnésium

Macro-éléments secondaires

Silicium (Si) - Bore (B) - Brome (Br) - Rubidium (Rb) - Strontium (Sr). soit 5 éléments

Oligo-éléments

Li - Mn - Ga - Sn - Fe - Ge - Sb - Nd - Er - Hg - Al - Co - As - Ni - Se - Ag - Ba - Eu - Pb - V
- Cu - Cd - La - Gd - Cr - Zn - Mo - Ce - Tb soit 29 éléments

Eléments traces

Pr - Ho - Au - W - Sm - Sc - Yb - Os - Y - soit 9 éléments

Eléments ultra-traces

Ru - Ta - U - Be - Rh - Pd - Tm - Re - Tl - Os - Lu - Ir - Bi - In - Hf - Pt - Th soit 17 éléments

UTILITE DU M.A.U. en biochimie infraclinique et en médecine préventive et
curative

Le M.A.U. est immédiatement exploitable en médecine et thérapeutique journalière.
a) Le M.A.U. représente "l'état des lieux" du patient. On peut apprécier les grandes tendances du terrain à développer les pathologies ou bien les confirmer (D'où l'importance de la fiche d'observations cliniques). Il est ainsi tout à fait possible de confirmer un diabète mais aussi un cancer ou autres pathologies. Le M.A.U. nous donnera :
-Les états de carences paradoxales par excès comme par défaut.

b) Si le M.A.U. délivre une image complexe , cela ne veut pas dire qu'elle est compliquée dès lors que le thérapeute ou le médecin connaît convenablement les oligo-éléments impliqués dans une pathologie donnée.

c) Le M.A.U. est donc un examen unique qui permet de déterminer et de discriminer les images pathologiques superposées (situation neuro-dépressive qui cache un facteur immunodépressif).

e) Le M.A.U. est aussi complémentaire d'autres examens cliniques ou biologiques (sang, électrolytes, sang total, sérum...).

Le M.A.U. et les chimiothérapies et insulinothérapies.
Le M.A.U. est indispensable dans les actes chimio-thérapeutiques (agents immunosuppresseurs, anti-viraux, anti-rétroviraux, délégation EDTA - DMSO - DMPS). Les
chimiothérapies déplacent de manière très importante chez l'adulte et l'enfant le pool du Zinc,
du Silicium, du Molybdène, du Bore et des lanthanides. Il convient donc de rétablir ces pools afin de protéger l'intégrité des mécanismes EMS et machinerie protéique (immunité).
La balance électrochimique Sodium/Potassium au sein du M.A.U. permet d'apprécier les mécanismes des membranes et le statut hydrique (eau et donc pompe à protons H+de même les mécanisme ATP-Magnésium renseignent sur l'intégrité des nucléotides de base (AGTC),
principalement Adénosine et Adénine.
Les 14 lanthanides (terres rares) et la synthèse protéique
Du lanthane au lutétium le M.A.U. analyse 14 éléments. Les lanthanides (La3+ participent à associer le Zinc à la synthèse protéique y compris dans l'auto-réparation de l'ADN. Ils sont principalement impliqués dans les protéines spécialisées telle que :
- ADN Polymérase
- ADN Hélicase
- ADN Transcriptase

Le M.A.U. et les métaux lourds et toxiques

Odontologie

Je n'apprendrai rien à personne en disant que la dépose des anciens plombages (contenant entre autre du mercure) est une opération souvent cruciale dans la correction du terrain de certaines pathologie comme le cancer ou la sclérose en plaques. Cette dépose doit être faites progressivement par un odontologue spécialisé et sous aspiration continue. Cependant les risques subsistent tant pour le patient que pour le praticien. Dans cette optique un M.A.U. prédépose et un M.A.U. post-dépose sont recommandés pour le patient, ils permettent de mettre en évidence les somatotopies grâce à certains métaux détectés et permettent ainsi d'agir directement sur certaines fonctions ou organes en supplémentant le patient. En ce qui concerne le praticien nous ne pouvons que conseiller un M.A.U. bisannuel pour éliminer tout
risque de contamination accidentelle.

Conclusion et mise en garde

Vous aurez compris que ce n’est pas en quelques pages que nous pouvons définir la médecine quantique et l’un des outils principaux qui en découle le métallogramme atomique urinaire.

Nous avons voulu ici mettre en évidence les potentialités d’une démarche à laquelle nous adhérons pleinement.
Nous avons choisi cette voie comme sujet de thèse parce-que nous pensons qu’effectivement la généralisation d’un examen de ce type pourrait permettre d’établir statistiquement le « métallogramme urinaire type » d’un certain nombre de pathologies ou plus exactement des
terrains sur lesquelles elles sont appelées à se développer. Egalement nous pensons que le procédé du Métallogramme Atomique Urinaire est arrivé à une phase « adulte » qui permet de l’utiliser en toute confiance quand aux résultats. Le travail d’élaboration nécessite la
collaboration de tous les thérapeutes intéressés par la potentialité que présente notre approche de corriger le terrain avant l’apparition symptomatique.
Ceci étant, si la technologie d’analyses est à la portée de nombreux laboratoires, il n’y a encore que très peu de biologistes formés à leur interprétation dans une optique médicale de prévention. Aussi, je me permets de mettre en garde autant les thérapeutes que les patients
contre les personnes peu scrupuleuses qui prétendent à travers se genre d’analyse pouvoir établir « de facto » l’état pathologique de 12, 15 ou 18 fonctions organiques, non que ce type d’interprétations ne soit possible mais parce qu’il nécessiterait pour être scientifiquement
valable le recul de l’analyse d’un ou de deux millions de cas.
NOTA BENE : Il est primordial que ce type d’analyses soit effectué sur trois prélèvements d’urine réalisés sur trois jours successifs à jeun, le patient ayant par ailleurs cessé toute supplémentation minérale pendant cette période et si possible un ou deux jours avant. Toute analyse de ce type réalisée sur un seul prélèvement d’urine ne
revêt aucune valeur scientifique, biologique ou médicale.
Pour notre part nous avons choisi de réfléchir et de travailler sur l’utilisation de la médecine quantique et du métallogramme atomique urinaire dans la prévention des cancers et autres maladies dégénératives. Nous pensons, à l’expérience que chaque type de pathologie dégénérative correspond à un métallogramme type.
Ce travail , comme je l’ai dit plus haut nécessite une compilation statistique portant sur un grand nombre de cas pour être vraiment valable, mais en attendant le métallogramme nous permet d’apprécier d’une manière tout à fait originale et oserai-je dire révolutionnaire l’état du terrain énergétique et radiatif du patients.
Les médecins et thérapeutes que cette technique intéresse peuvent nous contacter :

Laboratoire Enerbio (Correspondant GLYCAN GROUP)
Jean-Claude Thimoléon
02 99 09 94 41 (ligne directe)
http://www.labenerbio.com

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Jean-Claude Thimoléon